Hello, moi c’est Cécile

Cécile-Eva Ferney

Hello,
Je m’appelle Cécile, je vis à Morzine-Avoriaz en Haute-Savoie. Passionnée de ski et de vtt, je vie à la montagne depuis plusieurs années.

Je suis passé par un diplôme en commerce du sport puis j’ai travaillé dans différents magasins de sport. En 2019 je suis partie dans l’ouest canada pour travailler et découvrir la fameuse “champagne powder”. C’est là où j’ai découvert les bonnets à 4 pics, que j’ai de suite adoré. Une fois de retour en France avec un bonnet à 4 pics sur la tête, beaucoup rigolaient et me demandaient pourquoi je portais une chose pareille, aujourd’hui ça me fait bien rire, je disais “attendez, la mode arrive toujours plus tard en france”



En Juin 2023, j’ai malheureusement eu un grave accident de vtt, j’ai cassé mes deux bras, 17 fractures au total, 8 semaines d’immobilisation et 5 mois de rééducation. Aujourd’hui je ne suis pas complètement remise car j’ai perdu beaucoup de mobilité. 
Durant ma convalescence j’avais besoin de créativité, de faire autre chose, d’occuper mon esprit différemment. Ma grand-mère étant couturière de métier et ayant appris à ma mère comment coudre, j’ai donc fait appel à ma mère pour m’apprendre. Au début, je lui avais demandé de réaliser le fameux 4 pics avec moi. Une fois quelques modèles réalisés, j’ai commencé à les porter dans la station où je vis. Ce type de bonnet attirait toujours le regard des autres, et en effet la mode était arrivée petit à petit en Europe par certains pro skieur et snowboarder. 

4PEAKS est donc arrivé, j’ai réuni toutes mes connaissances du commerce, du ski/snowboard ainsi que de la couture et j’ai lancé cette marque, qui est aujourd’hui une marque déposée en France. 
Pour moi ma micro-entreprise est une victoire, elle m’a permis de voir le bout du tunnel dans lequel j’étais suite à mon accident, et je souhaite à quiconque cette chance.

En achetant un de mes bonnets vous contribuerez à soutenir une petite entreprise locale de montagne, et il n’y a rien de plus important aujourd’hui que de soutenir l’artisanat local versus les grandes multinationales des sports d’hiver

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